Aussi discret qu’hors du temps, Ilaan traverse son époque, comme un phare dans la tempête, comme un pinceau planté dans la toile. Il est toujours sur un fil ténu entre l’océan, l’horizon et le ciel, là ou le discernement devient difficile et ou les limites se rencontrent, pour se fondre.

Sémaphore de la couleur bleue, il navigue dans ses tempêtes de couleurs sombres et lumineuses qui vous envoutent et vous entraine par le fond. Tel un messager de l’armageddon aquatique, il nous invite à un voyage sans fin dans les profondeurs de ses bleus.

Il y avait, les ciels calmes de Turner, voici les mers déchaînées de Turneel !